For my part, if no adequate federal plan is properly implemented in the so-called Algeria before Friday, December 14, 2025, I will officially and irreversibly join the MAK, of which I have never been a member but only a sympathizer, for the sake of the total independence of Kabylia as a country. — Djabri, A.
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Ils parlent du vivre-ensemble mais ne s'entendent même pas avec les membres de leur famille, communauté, et peuple. Dans leur piteux bled au croissant, ils n'arrivent pas à vivre entre eux, s'entretuent, et prennent des barques vers de meilleurs horizons chez les Kouffars qu'ils haïssent à mort et traîtent de dépravés. "'Nous dans nous' ne fonctionne pas du tout!", en dirait Mohamed Fellag. De surcroit, ils veulent donner des leçons sur le vivre-ensemble à leurs hôtes qui les ont recueillis comme des naufragés. "Mange ta patate et reste tranquille!", en redis-je. Ensuite, ils cherchent à s'entendre avec les Aliens et vivre avec eux. Incroyable! Alors, qu'attendent-ils pour aller vivre dans les contrées islamistes qui leur sont compatibles? "Ah zébib!", aurait encore lancé l'autre Perse. Ils adorent vivre en Occident mais, paradoxalement, s'affairent à le transformer à l'image de leur Géhenne qu'ils ont fuie. Dissonant! En illustration réelle, seuls les islamistes peuvent vivre avec les islamistes à Gaza et partout ailleurs où la Charia est plus ou moins appliquée. Et encore! Parce qu'il y a l'interminable duel entre Sunnite et Chiite ainsi que d'innombrables conflits entre sectes y compris au sein d'une même branche. Ce serait pareil en Occident s'ils y dominaient par le nombre et le nombre se fait par la mécanique, la conversion, et/ou l'immigration. Ils domineraient les contrées des adeptes de la ZLABIA+ qui ne font pas d'enfants et les exécuteraient comme c'est clairement stipulé dans la Charia. Les grands humanistes autoproclamés de gauche en dérive continue, prétendant détenir la bonté, les aident, à des fins électorales notamment, comme ils avaient aidé Cheikh Khomeïni qui les avaient liquidés, emprisonnés, exilés, ou soumis comme des brebis en Iran, un par un, dès qu'il avait pris le pouvoir en 1979 et pour l'éternité si son régime n'est pas délogé. Il ne serait pas étonnant si cela arrivait en Belgique en premier lieu, puis en France, en Angleterre, et ailleurs en Occident trop complaisant. C'est l'une des raisons pour lesquelles je répulse au plus haut degré cette gauche en dérive continue. Pourtant, j'en proviens de naissance en tant qu'enfant de paysans montagnards. Avant de la découvrir en théorie, la gauche était mon quotidien dès l'enfance dans les champs: labourer, planter, arroser, cueillir, et le reste y compris les tâches relatives aux animaux qui ne parlent pas. Jusqu'à présent, je sens encore cette suave odeur de la chèvre qui s'est imprégnée dans mon esprit comme un pétroglyphe sur un rocher de l'Âge de Pierre et je n'ai pas besoin de Chanel. Il y va sans mentionner les divers travaux liés à la construction. En général, le Kabyle édifiait sa propre maison et n'attendait rien des autorités hormis des impôts, des entraves, et des problèmes incluant la tuerie. Ce n'était pas la gauche des salons de thé, de gazosa, ou de je ne sais quoi d'autre. Puis, j'allais à pied à l'école sous la pluie, la neige, ou la grêle dans la boue parfûmée de bouse en protégeant le cartable de l'eau. En classe, on aimait les tables près du chauffage quand il y en avait et quand il y en avait quand il marchait pour se sécher, arrêter de trembler, et pouvoir écouter l'enseignant. Dans tout cela, il fallait voler du temps au temps pour la plage, la montagne, le chant, le stade, le théâtre, etc., pour vivre un petit chouia. "Zâma! Zâma!", chantait l'autre. De retour à l'abominable dogme de Duldul, sans prétention aucune, je sais exactement en quoi consistent l'islamisme et le terrorisme qui en découle que j'avais vécus au beau morceau de terre de l'imposture par excellence nommé Algérie. La gauche où j'avais évolué était farouchement contre-islamiste que je qualifie de katébienne par rapport à Yacine Kateb qui y avait une influence fort considérable. Cet immense penseur qui n'avait pas fini le lycée à cause de son caractère rebelle, contre-colonial, était un athée d'une famille maraboutique de l'Aurès. Elle n'avait rien à voir avec la grasse tartufferie de Jean-Luc du Hamas et consorts, carrément pro-terroriste, qui a lu la gauche mais ne l'a jamais vécue. Bien que je sois issu de gauche, mon point de gravité a toujours été au centre, et je reconnaîs la raison quand elle émerge de droite. Nulle vision ne détient toute la raison. Il y en a un peu partout et il vaudrait mieux ne pas être esclave dogmatique d'une tendance ou d'une autre tel un automate. Ainsi, on garde la liberté de trier et de choisir les éléments appropriés qui ne sont pas absolus vu que les choses diffèrent à travers l'espace et le temps. Ce qui est sûr est que la raison est la raison d'où qu'elle émane même d'un camp adverse. Aujourd'hui, on voit bien que c'est plutôt la droite qui est contre-terroriste et je la soutiens au moins pour ce motif vital. La gauche en dérive continue, quant à elle, victimaire, plaintive, improductive, et on en passe, joue vicieusement sur les fibres sensibles, manipulatrice expérimentée faisant appel au sentiment et à l'émotion, sans rationalité, dont la haine du Juif prétextant Israël afin de séduire l'électorat islamiste parmi d'autres. C'est cette dernière qui peut être dangereuse, meurtrièrement, massivement, feignant l'humanisme, comme l'avaient été l'hitlérisme socialiste et le stalinisme communiste. Qui voit la droite commettre des attentats, des exécutions, et/ou des massacres au nom d'un dogme ou d'un autre? Par contre, les islamistes de gauche en dérive continue en perpètrent encore et encore même entre eux par takfir depuis le septième siècle. L'Algérien n'avait-il pas égorgé l'Algérien tel un mouton de l'aïd au nom de l'abject dogme de Duldul? C'est kif-kif au Mali, en Libye, au Soudan, en Syrie, à Gaza, en Irak, en Iran, en Afghanistan, au Yémen, et dans d'autres lieux analogues dont le plus grand dénominateur commun est le maudit dogme de l'âne qui vole. Est-ce encore un complot sioniste quand l'agresseur et l'agressé crient tous deux "!اللّه أكبر"? Mais, peut-être que c'est un autre coup franco-juif de Nicolas Sarkozy. La flagrante évidence est que leur premier problème est leur croyance d'une extraordinaire bêtise qui les tue et tue autrui. La clef pour sortir de la caverne des ténèbres n'est nulle autre que la contre-khotta. En d'autres termes, le Coran d'air et le Hadith doivent être mis aux poubelles. Ce n'est que le premier pas. Dieu, pour qui y croit, n'a aucun lien avec aucune khorotologie des animaux qui parlent. On devrait au moins arrêter de mentir à soi-même car à force de le faire on finit par y croire et y continuer pathologiquement à l'instar du démentiel président du défunt général surnommé à juste titre Gargamel Tebbegriri. Cependant, en dépit de tout, il vaudrait mieux en rire qu'en pleurer étant donné que le rire est toujours bénéfique pour la santé mentale, physique, et spirituelle. "Le sas ne peut cacher le soleil!", signe un proverbe. À suivre! — Djabri, A.
Puis, en tant que Kabyle issu en majeure partie des Ikutamen, des Massyles parmi d'autres, dont le fief natif et originel était la Kabylie orientale incluant ce qui est aujourd'hui appelé le Constantinois, je tiens à manifester ma gratitude à l'égard des Izwawen, voisins et proches, bulgares et rire, ainsi qu'à tous les gens des autres fédérations libyques (timazighin) d'Afrique du Mort: à travers notre histoire, il y avait eu plusieurs dislocations et refondations de notre fédération dues aux invasions depuis l'occupation romaine amorcée dès la défaite et le suicide de notre roi paysan Juba de Hippone (Juba I) à Zama dans l'actuelle Tunisie qui faisait partie de la Massylie puis de la Numidie avant Jésus de Marie et Mohamed de Khadidja, et la toute dernière dissolution, fatale, avait eu lieu au quatrième quart du douzième siècle, mais nous avions survécu grâce à eux car les Ikutamen s'étaient intégré à d'autres fédérations semblables à travers le nord du continent y compris le côté occidental de l'Atlas jusqu'à l'Atlantique, et c'est ainsi que les Ikutamen, très dispersés, sont minoritaires partout où ils sont même en Kabylie d'origine, et c'est ainsi aussi que l'on ne les cite nulle part depuis quasiment un millénaire puisqu'en Kabylie nous sommes des Kabyles, dans l'Aurès des Aurésiens ou des Chaouis, dans l'Algérois des Chénouis ou des Khos (Là-bas, ça va?), en Oranie des Khis, au Rif des Rifains, en Égypte je ne sais qui, au Hijaz des Arabes, en Israël des Israéliens, et ainsi de suite. — Djabri, A.
There is no language called Algerian but there is one called
Kabyle. It is a clear-cut fact and not a point of
view. The proof is myself: I originate from the so-called Algeria, precisely
from the north-east of present Kabylia, and I speak a variant of Kabyle which
is my first language. I am from the ancient and very first capital of the
Ikutamen
in
Jannah
which used to be the north-west of Cirta or Constantine. A native of the
north-east of Bugia, I could have been from the north-west of Jijel like my neighbors of Ziama, with a different administrative division, or from Setif
which is nearby too. Whatsoever, Jijeli or Zekri, it does not matter at all. I am Kabyle but not from the
Izwawen who are a linked population at least in geography, history, language, culture, and kermous. Kabylia is composed of lots of origines even Germanic but
there are so many things in common across language. It is absolutely a nation
of a people. Well and truly, my first nationality was Algerian. I am neither
French nor Jew contrary to what foolish people believe. My historical country
is Massylia which corresponds to Kabylia nowadays and other parts like Aures,
a piece of Tunisia, and a piece of Libya. Currently, I am only a naturalized
Canadian. I did not hear anyone in all the bled speaking Algerian for the
simple reason that it does not exist. Later, I learned foreign languages from
Europe and Asia like French, Arabic, and English at school, but also a certain
amount of Italian and Spanish which are very close to French, through
television. I have nothing against Arabic as a (dead) language even if it is
completely useless for me. Nevertheless, I have an immense problem with the pan-Arab
imposture as a hegemonic ideology which ravages my identity until now. If God
exists, He created me Kabyle. Hence, it is more than blasphemous to go against
His will by denying my natural Kabylity. Then, a language means a culture, a
history, an identity, and so on. Why do the denatured people from the
so-called Algeria strive to kill Kabyle and replace it by a foreign one from
another continent! This is just one reason in favor of the total independence
of Kabylia. Because the federal solution like in Switzerland was rejected. In
this particular case,
Ferhat Mehenni
is the most loyally coherent political leader of all Africa. Everyone is aware
it is the truth. However, between Paris and Tizi-Ouzou, there is a gap. In
practice, it happens in Kabylia. In theory, everything is solved from abroad
like did
Hocine Aït-Boycott
with his famous khotta including his brotherhood with the
FIS
of the
FLN
and he fatally failed until his death. — Djabri, A.
C'est dans une chanson de Lounès Matoub (album tirgin, 1982) et il avait
tout-à-fait raison. En Algérie, quasiment tout est faux depuis le lundi 1
novembre 1954. Imposture! "Heureux les martyrs qui n'ont rien vu!" —
Djabri, A.